"Ils
sont morts de vieillesse dans une bâtisse fade
sans échos, sombre et sans mot".
De la brousse campagne à la limite embarrassante, il a tout donné à cette terre mais il en mourra pour
une fois. Une femme qui paie des enfants-poules, célèbres
descendants d’une lignée stupide au détriment de deux vilains. A nos aïeux, êtres délicats à qui on ne doit rien à part quelques
souvenirs approximatifs, je vous aime. Et c'est déjà mieux que ces foutues
étrennes blanchies, disculpant une femme aux préférences malignes.
Elle reconnaîtra dix ans plus tard l’enfant imaginaire, se
souvenant luminaire de ses premières sorties culottes. Elle le
devinera, pourquoi pas "l’enfant Louisou", mais lui ne sait rien de
plus, ordinaire du même « cruor » il me semble.
Quelques
flocons et je quitte les «laines souvenirs», fuis cette plate planète. Je plane dans l’interstice du
noir pointillant qui zélé de ma personne prépare une nouvelle
attaque.
Je
me repose.
(Extrait du récit: "L’Autocrate Papillonneur")
(Extrait du récit: "L’Autocrate Papillonneur")
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